Cela allait bientôt être le jour de mon arrivée dans ce lycée rose ! Yeark et beurk ! En fait dans deux jours, je vais mourir sous une overdose de rose pastel et bonbon ! J'en avais envie de gerber à l'avance. Enfin il faisait nuit et cela faisait un moment que je n'avais pas été appelé pour aider dans un sauvetage ou quoique ce soit et heureusement. Je me baladais seul dans les rues pour arriver dans le quartier des riches. J'avais un écouteur dans les oreilles pour m'écouter une musique qui décoiffait puis au détour d'une ruelle, je faillis m'étaler comme un con sur le sol en ayant heurté quelque chose au sol. J'enlevais mes écouteurs en éteignant la musique puis je me tournais pour voir qu'il s'agissait d'un mec plutôt mal en point étalé sur le ventre. Je retournais le mec et posais mes doigts dans son cou pour constater que son cœur battait ce qui me soulageait. En tout cas, il sentait très fort le tabac et l'alcool et il devait pas être plus vieux que moi. Je trouvais qu'il peinait à respirer alors je lui ai incliné la tête pour que l'air entre directement dans ses poumons. Je finis par fouiller dans ses papiers en dénichant une clé et son adresse. Ouais il habitait pas loin apparemment alors ça allait, il valait mieux pas qu'il reste ici. Je mis sa clé dans ma poche en remettant ses papiers dans les siennes puis je lui pris les bras pour les mettre autour de mon cou et je lui choppais les jambes pour le charger sur mon dos en me relevant. Bon sang il pesait pas un poids plume ce mec plutôt mignon à mon goût enfin j'arrivais à le porter quand même.

En le calant bien contre moi, j'ai alors sentis un truc gênant. Non ne me dites pas qu'il avait été drogué avec un produit aphrodisiaque quand même ? Ben apparemment si vu la bosse que je sentais vers mon cul. J'avais légèrement rougi alors je pris mon inspiration et je me mis en route pour le ramener chez lui. Je déverrouillais la porte de chez lui en le tenant toujours contre mon dos et je refermais la porte en posant les clés sur la table à côté. J'entendis un chien qui aboyais puis je lâchais un léger sifflement pour le calmer comme j'avais l'habitude des canidés, j'arrivais facilement à les calmer. J'ignorais quand il allait se réveiller ou du moins reprendre conscience avec sa tête ou son membre car là s'il avait du mal à respirer c'était à cause de son excitation involontaire. Pfff je devais jouer les infirmiers maintenant ! Rhâ ! Bien je gravis les marches de l'escalier pour arriver au premier pour chercher la chambre du rouquin pour finir par arriver au deuxième où je la trouvais enfin. Vu le look de la chambre dans le style rock ça ne pouvait être que la sienne alors j'y entrais sans gêne pour le poser sur le lit et je me levais pour partir lui chercher de quoi le rafraîchir et moi aussi par la même occasion car avoir sentis son membre collé contre mon cul m'avait quand même un peu excité. Je n'étais pas du genre à profiter et abuser des autres sans leur consentement alors je préférais m'éloigner un peu.