« hopes dies last » Matthew

Sujet: « hopes dies last » Matthew Dim 25 Mar - 9:10

ma petite présentation

NOM & PRÉNOM : Matthew Gray Williams

DATE DE NAISSANCE & AGE : 18 décembre, 18 ans

NATIONALITÉ : anglaise

ORIENTATION : bisexuelle

GROUPE : artiste

quelques questions

POURQUOI CHOISIR CE GROUPE ? joueur de guitare dans ses temps libre, il ne semble par s'intéresser à autre chose. Ah ! Si, peut-être un peu au dessin.

COMMENT AVEZ-VOUS CONNU SWEET AMORIS ? Ses parents ont été là-bas dans leur année de Lycée, ainsi donc sa soeur et lui ont été placé là à la demande des parents de Matthew.

COMMENT AVEZ-VOUS APPRIS L'ANGLAIS ? //

bâtard un jour, bâtard toujours.

m e n t a l

{ correction à faire prochainement }

Sans même le connaître, sans même lui avoir déjà adressé la parole avec un simple « bonjour », vous pouvez assez facilement vous faire une idée de ce qu’il est. Bien entendu, pour le connaître plus en profondeur, il faudrait lui adresser la parole, ce qui ne semble aucunement enchanter les gens. D’ailleurs, au dirait presque qu’ils sont effrayés par lui. Pourtant, il n’est pas si étrange et si dangereux. Sans aucun doute parce que tous ce que l’on voit, dès le premier coup d’œil, sont : son regard et sa froideur. Cependant, il ne faut pas toujours se fier aux premières idées, ne pas classer les gens par catégories simplement après les avoir observés sans les connaître réellement. Malgré tout, nous faisons tous la même erreur, jugé les gens est une seconde nature chez l’être humain, autant féminin que masculin. Il semblerait, cependant, que ce jugement soit plus accru durent la période ingrate, soit l’adolescence. Juger et ne croire que ce que l’on voit, sans essayer de comprendre plus en profondeur, voilà le pire défaut de l’être vivant. La société d’aujourd’hui est faite ainsi, collant des étiquettes indélébiles sur le front de ses habitants sans qu’ils n’aient leur mot à dire ou leur penser. Il faut rentrer dans les stéréotypes, être parfait. Il faut savoir se tenir droit et rentrer dans les rangs sans broncher, sans être différent. Etre des clones de tous et chacun, voilà la mentalité. Une personne ronde se fera presqu’automatiquement rejeté, tenu comme moins jolie que ses jeunes femmes dans les magasines retouché entièrement. Une personne trop original se fera traiter de fou ou encore d’idiot. Est-ce vraiment ça, la réalité ? Non surement pas.

Matthew ne rentre aucunement dans les rangs stéréotypés de la vie. Il n’est pas un bon petit soldat que l’on peut faire avancer à sa guise. Il n’est pas parfait et ne cherche pas à l’être, il ne cherche pas que tous le monde l’aime. Considérer comme « hors-norme », il se fiche du regard que poseront les autres sur lui. Ils peuvent bien le détester, mais pourquoi changerait-il pour coller aux idées d’une société superficielle qui ne veut que des êtres parfaits et sans reproches ? Non, Matthew ne se laissera pas avoir dans ce jeu-là. S’il faut être différent, alors soyons différent. S’il faut être fou, alors soyons-le. Il est certains qu’une bonne réputation aide toujours, mais quand tu ressemble à ton voisins ou ta voisine, où se trouve donc ta personnalité ? Où se trouvent donc tes ambitions ? Faut-il simplement suivre le chemin déjà tracé par tous et chacun, sans avoir à dire quoique ce soit ? Pour Gray, c’est con. C’est inutile. C’est totalement puéril, voilà tout.

Partant du fait qu’il ne rentre dans aucune catégorie, on peut facilement comprendre qu’il n’est pas la personne la plus sociable qui se fera des milliers d’amis. Ce n’est pas une personne qui cherchera l’attention ni la pitié. Au contraire, avoir de la pitié se révèlerait destructeur pour lui. Le regard désolé des autres personnes l’entourant, même si se ne sont que de simple figurant dans le film de sa vie, le mettrait en colère. Il ne veut pas qu’on le regarde ainsi. Il sait se tenir droit, il sait quoi faire pour vivre, il n’a besoins de personne, voilà tout. En partant de tous ses petits détails, la personnalité de Matthew se forme dans votre tête, mais est-ce exact, tout ce que vous pensez sur lui ? Faux, mais pas entièrement.

Muet. Pas complètement. Un mutisme partiel. Le fait qu’il semble antisociable est fondé sur rien. Quoique pas totalement, puisqu’il ne souhaite pas franchement avoir des gens autour de lui. Cependant, il ne parle pas, ou alors très peu. Ne répondant que par de simples réponses courtes telles que oui ou non. Depuis l’accident tragique entourant le décès rapide de ses parents, Matthew c’est tout simplement laisser tomber dans une sorte de carapace que seule sa sœur arrive à ouvrir. Pour lui, la famille c’était important, plus important que tout. Cependant, il ne réussit pas encore à faire le deuil de la perte qu’il a vécu, contrairement à Alyce qui semble le prendre mieux que lui. Voilà pourquoi il ne parle pas, il est encore choqué. Certes, il parle, c’est sur, sinon il travaillerait assez mal en classe.

Pour être plus rapide et bref, j’expliquerais ceci. Matthew est quelqu’un de brillant, il réussit beaucoup de chose, mais échouant souvent. Il n’aime pas l’échec et peut se montrer mauvais perdant. Il n’est pas quelqu’un de très enjoué, il ne sourit pas vraiment ou alors ce ne sont que de simple sourire narquois. Regardant les gens de haut, il se créer une personnalité d’arrogant qui se croit meilleur que tous, même si son intention n’est pas là. Il est vrai qu’il ne fait rien pour attirer les gens et fait tous pour les éloigner, mais il croit pertinemment que la mort frappe les gens autour de lui. Ainsi, il est extrêmement protecteur envers sa sœur jumelle, Alyce. Cette-dernière en profite grandement, d’ailleurs, mais nous ne sommes pas là pour parler d’elle. Matthew écarte la plupart de ses courtisans, les faisant fuir. Il garde sa sœur près de lui, c’est la personne la plus importante dans le cœur du jeune homme. Vous allez probablement dire que la personne la plus importante sera celle dont il tombera amoureux, cependant il préfère ne pas croire en l’amour. Il ne cherche pas l’affection d’une autre personne. S’il le vit, tant mieux, sinon il restera seul sans se plaindre. Il a apprit à se taire et ne rien dire, voilà.

Alors, Matthew est quelqu’un de complexe, de spécial. Restant souvent seul dans le coin de la cours à gratter sa guitare, jouant quelques chansons en attirant le regard des curieux. Sa seule libération, c’est quand il joue, quand il ferme les yeux et qu’il est transporté dans son monde, son monde à lui. Ce monde où tout est différent. Son monde parfait ou tous sont imparfait…

p h y s i c a l

PERSONNAGE DE L'AVATAR : accelerator - To Aru Majutsu no Index
COULEUR DES YEUX : d'un brun passant facilement pour rouge sous certaines lumières et sous le soleil.
COULEUR DE CHEVEUX : blonds très pâle, passant facilement pour blanc. Quoiqu'il a déjà eu une teinture blanche, donc il lui en reste un fond.
POIDS : 70 kg, il est dans son poids santé.
CORPULENCE : Très peu musclé, juste assez pour ne pas avoir l'air faible.
TAILLE : 1m85, il est très grand.
COULEUR DES SOUS-VÊTEMENTS : Exclusivement noirs ou encore gris.
COMPLEXE(S) : Sa taille. Il n'aime pas être grand, il ne passe pas assez inaperçu à son goût.
Un truc en + : Il est tatoué de deux ailes d'ange dans le haut de son dos ainsi que le nom de sa soeur « Alyce » écrit en signe chinois sur la nuque.

la perfection n'existe pas

s t o r y

before the story
chapitre I

« Laissez-moi ! Ne me touchez pas ! »

Son cri désespérer retentis en écho dans les petites ruelles, appelant de l’aide, à bout de souffle. Depuis toujours elle passe par ce petit trou paumé sans que rien ne lui soit jamais arriver, pourquoi aujourd’hui c’était différent ? Pourquoi, posté dans l’ombre d’un coin, ils l’ont prit, elle, pour cible ? Elle n’avait rien fait pour mériter un tel sort, pas maintenant. Pourquoi personne ne venait l’aider ? Était-ce si normal d’entendre des cris de femme en détresse dans ce petit coin de ville que personne ne faisait attention à elle qui pleurait à chaudes larmes ? Quelle société pourrie… Quel monde pourrie… Quel travail de merde, aussi. Sans ce travail, elle ne se retrouverait pas dans cette situation horrible, une arme sous la gorge près à trancher sa fine peau et faire tomber le rouge sur la neige blanche déjà souillé par la terre. Elle n’avait jamais eu de chance, depuis toute jeune. Elle tombait tous les jours, elle se blessait puis tout recommençait. Depuis aussi loin qu’elle se souvienne, elle a toujours été malchanceuse. La preuve, c’était maintenant. Elle était bien une des seules à se faire prendre dans les filets d’être aussi sadique. Elle donnerait tout, tout sans aucun doute, juste pour sortir de cet enfer.

Sentant la lame passé lentement, ne pénétrant pas sa chair, elle ferma les yeux, connaissant trop bien la suite de l’histoire. Elle avait sans doute trop regardé de films d’horreur quand elle était jeune, mais ils n’avaient pas tout faux. C’était toujours la blonde un peu stupide qui mourrait en premier… En serrant les dents, elle avala sa salive… Puis plus rien. Elle entendit une simple alarme de police et ce fût finit. Il n’en fallut pas beaucoup pour que ses assaillants s’enfuient à toutes jambes. Elle se laissa glisser le long d’un mur de brique, les larmes ruisselantes sur ses joues creusent. Peut-être que Dieu existait, finalement. Elle se recroquevilla sur elle-même, le visage collé aux genoux…

« Vous allez bien ? »

Une voix la sortit de sa torpeur. Depuis combien de temps était-elle là ? Qui sait. Quelques minutes, quelques heures… Elle n’avait pas compté, elle était resté assit là, les doigts gelés par le froid et la neige qui commençait à tombé dans ses courts cheveux platines. Levant lentement ses yeux verts en direction de son interlocuteur, elle y découvrit un jeune homme aux cheveux noirs comme l’ébène et les yeux brunâtres, tournant vers le rouge sous la lumière de la lune. Il ressemblait à un démon. Un démon, certes, mais un de ses démons pour lesquels on vendrait notre âme. Tentant vainement de répondre à la question qu’il venait de lui poser, la jeune femme n’arrivait plus à dire quoique ce soit. Les lèvres sèches et gelés, elle n’arrivait plus à prononcer ne serait-ce qu’un son. Remarquant sa détresse qui se voyait dans ses yeux, le démon lui tendit sa main. Elle hésita. Devait-elle vraiment faire confiance à cet inconnu ? Elle le fixa longuement et se laissa avoir par ses yeux sombres. Attrapant la main qu’il lui tendait, elle se releva péniblement. S’accrochant à son nouveau sauveur, elle marcha avec lui, ne sachant aucunement où elle allait. Elle savait, cependant, qu’elle le suivait, son démon aux yeux de feu. Elle ne comprit pas la suite de l’histoire, elle ne comprit pas ce qui se passait. Elle se souvient de voix, de petites voix, du bruit d’une porte qui s’ouvre sous une carte magnétique, comme dans un hôtel, ainsi que des caresses, douces puis agressive. Cette histoire est flou, étrange, comme si elle n’avait jamais existé. Cette soirée était inscrite plus profondément dans le livre de la vie qu’elle ne l’avait espérer.

Le lendemain matin, dès l’aube, elle se réveilla. Sa tête était près d’éclaté, elle avait mal, tellement mal. Elle se prit la tête entre les paumes, pestant contre le froid et sa stupidité. La chambre était vide, complètement vide. La seule âme qui vive, c’était elle. Son démon était partit, la laissant seule. Elle aurait pu rager, pester contre le monde entier, mais non. Elle ressentait encore ses doigts sur sa peau, son regard brûlant dans ses yeux… Secouant la tête, elle réprima quelques larmes avant de se nettoyer et de revêtir ses vêtements. Elle venait de faire une bêtise, elle le savait. Non seulement elle venait de tromper son amour avec un démon, mais elle avait fait une bêtise encore plus grave, sauf qu’elle ne le savait pas encore. Une erreur est si vite arrivée, à ce que l’on dit…

smile for me
chapitre II

Enceinte. Voilà ce que le test disait. Elle en avait fait trois, de peur qu’il ne se soit trompé… mais non. C’était réel, c’était vrai. Jamais elle n’aurait pensé que ça la suivrait autant, les nausées, les maux de tête, tous ça à cause d’une erreur. Comment allait-elle l’annoncer ? Comment allait-elle avouer ? Est-ce qu’elle se retrouva seule une fois qu’il l’apprendra ? Allait-il la laisser tomber, comme une vieille chaussette qu’on oublie au fond du lave-linge ? Ne sachant pas trop quoi faire ou encore quoi dire, elle réfléchissait. Devrait-elle avorter, faire comme si de rien n’était ? Non, elle en serait incapable, complètement incapable de tuer un être vivant, aussi petit et informe soit-il. C’était tout simplement impossible d’envisager cette éventualité. Que devait-elle faire, alors ? Garder cette enfant créé par une union interdite ? Elle ne savait plus quoi faire. Elle réfléchit longtemps, très longtemps. Posant le pour et le contre de cet enfant qui se trouvait être un accident de parcours. Elle avait agis stupidement, elle le savait. Cependant, elle ne pouvait pas abandonner ce petit être. Devrait-elle le mettre en adoption ? Non, le temps qu’elle mette cet enfant au monde, son époux se rendra compte de tout, logiquement. Elle fit les cents pas durant plusieurs heures sans arrêt, attendant l’arriver de cet homme qu’elle aime malgré l’erreur qu’elle a commisse. C’est lorsqu’elle entendit le cliquetis de la porte d’entrer que son souffle se coupa. Elle respirait difficilement. Elle s’assit péniblement sur le petit divan rouge et inspirant profondément. Elle devait se jeter à l’eau, même au risque de se noyer parmi ses mensonges. Lorsqu’elle le vit dans les escaliers, lui qui lui souriait gentiment, amoureusement, elle se releva. Un nœud dans la gorge, elle avança d’un pas lent vers lui. Elle plongea ses yeux dans les siens, ses beaux yeux verts dont elle est tombée amoureuse… Il s’avança à sa rencontre, juste à temps pour qu’elle se laisse tomber dans ses bras. Cette réaction l’inquiéta, il ne comprenait plus rien de ce qui ce passait. C’est alors qu’il l’entendit dire ça…

« Je… Je suis enceinte… »

Contrairement à ce qu’elle aurait pu croire, il était heureux, euphorique. Il la serra dans ses bras en hurlant presque de joie. Il ne se doutait donc de rien ? De ce fait, elle fondit en larmes dans ses bras, dans les bras de cet homme dont elle est folle amoureuse malgré tout. Il passa une main dans ses cheveux platine puis lui leva le menton délicatement pour lui déposer un doux baiser sur les lèvres. Il passa une main sur le ventre de son épouse, un grand sourire aux lèvres. Elle le savait maintenant, il ne l’abandonnerait pas. Il restera avec elle, il sera toujours à ses côtés. À la vie, à la mort. Elle ne peut espérer mieux, seulement qu’il ne découvre jamais la vérité. Elle l’aime, elle ne veut jamais le perdre, pas au prix d’un pauvre idiot qui c’est servit de sa faiblesse. Non, jamais. Toujours dans ses bras, elle entendit les murmures de son homme. Ces petites paroles qui lui étaient destinés.

« Notre amour, à jamais à moi, à jamais à toi, à jamais à nous… Madame Faith Williams, je vous aime »

Elle ne pût s’empêcher de sourire, heureuse. Elle le colla encore plus à lui, accrochant ses mains à son costard noir.

« Je vous aime Monsieur Nicolas Williams… »

don't cry, you're beautiful
chapitre III

« Vous avez deux beaux enfants, une fille et un garçon madame Williams ! »

Les cris retentissants des deux bambins emmitouflés dans deux couvertures de laines firent sourire le couple Williams. Ils avaient pensés avoir une fille ou un garçon, pas les deux, mais c’était merveilleux. Ils n’allaient pas se plaindre, ils en étaient complètement heureux. La joie se lisait dans leurs visages, ils avaient enfin une famille, une vraie à eux. La mauvaise aventure que Faith avait vécu lui passait désormais dix pieds au dessus de la tête, elle était trop heureuse, trop… tout. Elle avait deux bébés en santé, hurlant à pleins poumons dans ses bras tremblant, un mari qu’elle aime et qu’il l’aime… Quoi demander de plus ? Rien, du moins dans la tête de Faith.

Quelques jours après la naissance des deux enfants Williams, je ne pourrais dire que la vie va mal. Aucunement, tout va pour le mieux, malgré le manque de sommeil naissant aux yeux de Faith et Nicolas. Ce-dernier, d’ailleurs, travaillait jusqu’à tard le soir dernièrement. Le coup de la vie pour élever deux enfants est cher, même si les Williams n’étaient pas pauvres. Mais, vous savez, tout dans la vie n’est pas parfait. Chaque minute nous test et nous met au défi. Survivre ou abandonner, en gros. Sauf qu’en ce moment, dans un bel après-midi de Décembre, une fatalité arriva aux yeux de Nicolas. Ses deux bambins avaient les cheveux de leur mère, sans aucun doute possible… Cependant, quelque chose clochait. Au-dessus de leurs sourires d’enfants innocents, quelque chose n’allait pas. Un détail faisait tache. Parmi le cadre parfait de la petite famille heureuse, les yeux de « ses » enfants n’étaient pas les siens, ni celle de sa femme. La couleur marron, même rouge sous la lumière, n’était pas la bonne. Aucun des deux adultes n’avait cette couleur. Les deux avaient les yeux pâles… Nicolas se posa, bien évidemment, des questions. Par chance, enfin ça dépends de la vision de certaines personnes, il n’en tient pas compte. Après tout, c’était connu que les enfants pourraient ne pas avoir les yeux de la couleur de leur parent. Il ne fallait donc pas trop en tenir compte et tirer des conclusions trop rapidement… Une chance pour Faith, non ?

Après cette brève période de questionnement dans la tête de Nicolas Williams, il n’eu plus aucun problème. On aurait pu croire qu’il allait découvrir le poteau rose, mais trop aveugler par l’amour et sa petite vie presque parfaite, il n’a jamais pensé à la vérité. D’un certain sens, c’est probablement mieux ainsi. C’est donc dans cette ambiance de famille parfaite et harmonieuse que les jumeaux ont grandit. Bien entendu, ils n’étaient pas à plaindre. Ils vivaient bien, mangeaient bien, avaient de tous pour bien vivre. Ils ont toujours eux une belle vie, c’est vrai. Ils étaient chanceux, ils n’avaient aucun problèmes… ou presque.

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Pour donné certains détails de la vie Alyce / Matthew, je dirais que dans les premières années de collège, Alyce n’était pas la plus jolie. En surpoids et la peau moins jolie qu’aujourd’hui, elle s’était fait beaucoup agacer. Matthew à toujours été là pour la défendre, mais il ne pouvait plus rien faire une fois qu’elle a décidé de faire ses régimes et tous ça. Il aurait bien voulu l’aider avant qu’elle tombe en anorexie, mais il n’a rien su faire. De toute façon, à ses yeux, elle était la plus belle.

i love you and you ?
chapitre IV

« Matthew ! Viens manger avec moi ! »

Tournant sa petite tête blanche vers une jeune fille de 14 ans aux cheveux noirs comme la nuit, Matthew lui offrit un doux sourire. Il se plaça à ses côtés dans l’herbe fraichement coupé. Croquant dans une pomme rouge, son seul repas de la journée, Matthew regarda la jeune demoiselle assit à côté de lui. Elle parlait sans cesse avec sa petite voix, n’arrêtant que pour reprendre son souffle. À croire qu’elle avait toujours quelques choses à dire, intelligent ou pas. Parfois elle partait une discutions sur la forme des nuages, sur la couleur d’un arbre ou encore sur l’étudiant assit là-bas qui dansait comme un débile pour attirer l’attention. Sa façon de tout dire sans retenu intéressait beaucoup Matthew. Du haut de ses 15 ans, le jeune Williams ne se lassait jamais de l’entendre parler. Peut-être parce qu’il n’avait pas beaucoup d’amis et qu’il restait souvent seul qu’il était heureux de pouvoir parler, enfin, à quelqu’un de vivant ? Plusieurs facteurs faisaient que Matthew était heureux en sa compagnie. Les deux n’étaient pas très populaire, les deux n’étaient pas très aimés, mais les deux ne se plaignaient pas. Mieux valait être seul que mal accompagné, après tout ! Par chance, ils n’étaient pas seuls, ils étaient ensemble. Malgré qu’elle se fasse souvent taquiner, enfin taquiner méchamment, par les autres étudiants, Matthew était toujours là pour lui venir en aide. Comme maintenant.

Matthew se leva, la laissant seule quelques instants pour aller à la salle de bain. Quand il revient, il eu l’horreur de constater qu’elle était encerclée de petites pimbêches qui se croyaient tous permis. Alors qu’il s’approcha du cercle, il se rendit compte qu’elles insultaient ouvertement cette pauvre fille. Il n’a jamais fait de différence entre filles / garçons en ce qui concernent de protéger quelqu’un. Instinctivement, Matthew attrapa ce qui lui semblait être la « leader » du groupe pour la prendre un collet et l’envoyer valser un peu plus loin. Regardant dans les yeux les autres petites idiotes, elles s’enfuirent automatiquement. Matthew savait pertinemment qu’il allait avoir des problèmes, mais il s’en fichait complètement.

« Lincey, tu vas bien ? »

« … oui … »

Matthew se rassit à côté d’elle, la prit par les hanches et la colla contre lui. Il lui embrassa le front doucement et lui caressa les cheveux. Pour lui, toucher aux gens qu’il aime, c’est la pire chose à faire. La violence ne règle rien, mais pour Matthew, elle règle tout quand on touche aux personnes importantes de sa vie. Ce soir-là, quand Matthew rentra chez lui, il eu droit à une engueulade sévère avec ses parents. Il était suspendu pour 2 jours de l’école. Ne faisant aucunement attention à ce que ses parents lui disaient, il finit par se ramasser un coup de poing monumental de son père. Son paternel n’était pas quelqu’un de violent d’habitude, mais quand il était très en colère, il donnait un seul coup pour lui remettre les idées en place.

Le lendemain, quand la cloche de fin des cours sonna, Matthew se rendit à l’école pour aller voir Lincey. Cette-dernière lui fit un beau sourire quand elle le vit. Elle aurait aimé ne pas venir à l’école, mais elle s’était dit que, deux jours, ce n’était pas si grave que ça, dans le fond. Quand il vit son joli sourire orné son doux visage, Matthew ne pût s’empêcher de lui rendre. Cet après-midi là, il la raccompagna chez elle à pied. Ils firent un arrêt au café du coin pour discuter un peu, vu que le lendemain il ne sera pas là non plus. Une fois arrivé devant chez elle, il lui promit de venir la chercher le lendemain pour la ramener chez elle. C’est d’ailleurs ce qu’il fit le lendemain et chaque jours qui suivirent il la ramena chez elle à pied avant de retourner chez lui. Chaque jours c’était la même routine, ils passaient la plupart de leurs temps ensemble avec Alyce, la jumelle de Matthew, qui venait de temps en temps avec eux.

Un mois après ce petit manège, Matthew ramena une nouvelle fois Lincey chez elle. Cependant, cette fois, la jeune fille aux cheveux noirs et aux yeux couleurs émeraude avait quelque chose à dire. À la sortit de « leur » café, elle s’arrêta devant lui, baissant la tête, regardant ses pieds. Les mains croisées dans le dos, elle cherchait ses mots.

« J-Je… Je… M-Matthew… Je… Je t’aime ! »

Surprit, Matthew ne sût quoi dire. Cependant, même si aucun son ne venait dans sa gorge pour lui répondre, il se pencha tranquillement vers elle pour lui donner un tendre petit baiser. C’était son premier baiser, vous voyez, celui qu’on n’oublie jamais… malheureusement.

Quelques jours plus tard, contrairement aux contes de fée, Matthew dit au revoir à Lincey, croyant la revoir le lendemain… Cependant, cette nuit-là, on apprit qu’un incendie avait détruit des vies. Une famille. Dans le journal, on pouvait voir en première page « La famille Adams à périt hier dans un incendie […] la plus jeune des deux enfants, Lincey Adams, est décéder à l’hôpital […] »

it's okay...
chapitre V

« happy new year ! »

Tendis ce que tous avaient le cœur à la fête, une pauvre âme en peine vagabondait parmi les invités de la grand maison Williams. Habillé d’un simple costard noir légèrement froissé, sans cravate ou nœud, il errait. Cherchant à savoir où cette vague l’emmènerait. Il allait mal, son désespoir était bien visible dans son visage. Cependant, que pouvait-il faire ? Certes, il était triste. Certes, il venait de perdre son premier amour. Certes, il était blessé on plus profond de lui-même, mais il devait se remonter à la surface. Il devait arrêter de couler. Du moins, c’est ce que sa sœur lui répétait sans cesse. Il l’avait aidé à surmonter certains… problèmes, c’était à son tour de l’aider. C’est ainsi que Matthew se retrouva, bien malgré lui, devant le bureau d’un psychologue. Sans broncher, il était allé là. Il c’était laissé faire et avait éclaté. Tout simplement. Meurtris, il ne savait plus trop quoi penser. Son psychologue le qualifiait de « cas désespérer ». En vérité, c’est que Gray ne cherchait pas à s’aider. Durant le deux heures où il se trouvait dans le bureau du professionnel, il ne disait quasiment rien, fixant le plafond de ses yeux vides d’émotions. On aurait presque dit un suicidaire au bord du gouffre, près à sauter dans le vide pour oublier la douleur et se pincement au cœur qui ne cesse de s’accroitre dans sa poitrine. Après tout, il était peut-être vraiment un cas sans espoir… Ce n’est pas ce que sa sœur voulait croire. Non, pas du tout.

C’est au bout d’un an, qu’Alyce décida d’agir. Pourquoi avoir attendu si longtemps ? Tout simplement parce qu’il faisait croire à tous qu’il allait mieux. Cependant, on ne peut pas berner sa jumelle… Sauf qu’elle ne pensait pas qu’il allait aller si loin. En début Juillet, Matthew fit une erreur. Ce midi-là, alors qu’Alyce était sortit à l’extérieur promener leur cabot, Crimson, il fit une grosse connerie. Attrapant le rasoir déposé en évidence dans la salle de bain, il s’entailla le poignet. C’est ainsi que, couché sur le sol, il s’offrait à la mort. Il lui ouvrait toute grande la porte pour qu’elle vienne lui prendre son âme… Mais sa tentative échoua. En ce jour, le jour de l’anniversaire de Lincey, Matthew venait de tenter de mourir. Il avait essayé de partir. Ce qu’il avait omis d’intégrer dans son plan, c’était sa sœur. Elle n’était pas stupide, elle avait compris que quelque chose n’allait pas. Cependant, elle arriva un peu trop tard. Par chance, on amena le jeune Williams rapidement aux urgences.

La mort s’éloigna peu à peu, refermant la porte, refusant de prendre Matthew sous son aile. Il fallût une ou deux semaines au jeune garçon pour se remettre de sa tentative raté. Alyce était fière de son coup, mais ne comprenait pas pourquoi il voulait tant quitter ce monde. Certes, il souffrait, mais était-ce vraiment une bonne raison pour la laisser seule ? Après deux mois, elle lui posa la question. Étrangement, elle fût surprise de la réponse qu’il lui donne.

« Pardonne-moi… Je ne te laisserais plus seule, plus jamais… »

Ce soir-là, Matthew se referma sur lui-même. Même Alyce n’arrivait plus à lui faire dire quoique ce soit, comme s’il venait de sombrer dans un mutisme total. Cela l’effrayait. Elle ne savait plus quoi faire pour aider son frère… Elle laissa donc cette histoire de côté, espérant qu’il finisse par revenir à lui et redevenir ce bon vieux Matthew chieur qui la faisait sourire…

i will protect you
chapitre VI

« NON ! Matthew ! Dis-moi que c’est faux ! C’est impossible, hein ?! »

Les yeux grands ouvert, le choc de l’annonce venait de paralysé le jeune homme. Les hurlements de sœur à ses côtés n’atteignaient même pas ses oreilles. Comme si tout venait de s’écrouler autour de lui. Était-ce vraiment possible ? Était-ce vraiment arriver ? Pourquoi ? Pourquoi lui ? Pourquoi eux ? Pourquoi SA famille ? Il se sentit secoué par Alyce, elle le secouait pour qu’il se réveille, pour qu’il ait ne serait-ce qu’une très légère réaction… Au même moment, il sentit ses jambes se couper sous lui, il tomba sur le sol, à genoux. Elle hurlait encore de lui dire que c’était faux, que ça ne pouvait pas leur arriver, pas à eux. Pourquoi fallait-il que ça tombe sur leur vie ? Même lui, il ne savait pas quoi dire. Il avait la gorge noué, aucun sons de pouvait sortir. Il était pétrifié. La peur rongeait son âme. Il ne pouvait plus bouger, ses membres ne lui répondaient plus. Il ne fit que lever les yeux vers l’infirmière qui se tenait devant eux, droite comme un piquet. C’est lorsqu’elle remarqua la détresse dans le regard du jeune Williams qu’elle l’aida à s’asseoir sur une chaise, près de la chambre 113. Tremblant de tout son corps, il réussi à reprendre le contrôle de son corps pour se prendre la tête avec ses deux mains. C’est à ce moment-là qu’un bruit sortit de sa gorge. Un hurlement se fit entendre. Un « non » retentissant. Une larme roula sur sa joue pendant qu’il continuait de dire « non » sans arrêt. Sa sœur prit place à ses côtés, se recroquevillant sur elle-même, pleurant à son tour. C’est ainsi, entouré de mur blanc, qu’ils hurlaient en silence. Qui aurait crû, qu’a 17 ans…

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Le samedi de cette semaine-là, habillé d’un costard noir, une fleur blanche à la main, sa sœur habillé d’une robe noire avec, elle aussi, une fleur blanche en main, il se tenait là, devant deux tombes en pierre grise. Chacun leurs tours, ils déposèrent leur fleur entre les deux tombes. Sur l’une des tombes, l’on pouvait lire « Faith Williams ; La plus merveilleuse mère sur terre » et sur l’autre « Nicolas Williams ; Partit trop tôt, un père dont l’absence pèse lourd ». Serrant la main de son frère, Alyce pleura en silence. Elle n’aurait jamais crû que ses deux parents la quitterait ainsi… Voyons sa sœur en larme, Matthew la serra dans ses bras, versant quelques larmes à son tour. Avec cet incident, il était revenu à lui. Malgré le drame « Lincey », il devait continuer d’avancer et aider sa sœur à surmonter cette étape. Lui-même était blessé et effrayé, mais il ne pouvait plus rien faire, rien d’autre appart avancer.

« Je te protègerais, Alyce. »

C’est ainsi que les jumeaux Williams partirent de leur terre natal pour aller s’installer aux Etats-Unis. Ils partirent s’installer chez leur tante, espérant que tout irait pour le mieux maintenant. À peine furent-ils arrivés que, main dans la main, ils se rendirent au magasin de tatou. Ensemble, ils se firent tatouer. Chacun avait quelque chose de personnalisé. Cependant, une fois entré dans leur nouveau Lycée, ils se séparèrent. Contrairement à sa sœur, Matthew ne voulu pas devenir « populaire ». La seule chose qui le rendait connu, c’était ses « crises de jalousies » quand un mec approchait trop sa sœur. Étrangement, elle aimait ça. Elle s’en servait à son avantage…

Un an. Voilà un an que se cirque dure et Matthew continue d’agir de la même façon. Assit dans son coin, sa guitare à la main, n’allant pas toujours en cours, il devient de plus en plus distant. Il commença à pratiquer l’art plus sérieusement. On ne change pas un artiste dans l’âme, après tout.

hope dies last

don't forget your past

PRÉNOM : Lunatic Angel or Pretty*Angel

AGE : j't'en pose, moi, des questions ?

COMMENT T'ES ARRIVÉE ICI : J'l'ai créer

UN COMMENTAIRE ? UNE IDÉE ? : C'est mocheuuuuuh

LE CODE DU RÈGLEMENT : auto-validation, parce que j'suis trop puissante.

Sujet: Re: « hopes dies last » Matthew Sam 12 Mai - 16:42

Hello !

Bon je vais pas te souhaiter la bienvenue parce que ce serait un peu bizarre XD mais le coeur y est.

Ta fiche n'est pas finit c'est vrai mais j'ai lu le "mental" de ton personnage et c'est drôle je l'imaginais exactement comme ça (par rapport aux images que tu as mise ect..)

J'ai retrouvé des petites choses qui m'ont paru comme un clin d'oeil à notre discussion d'hier soir (je sais pas si c'est fais exprès mais j'aime me dire que oui >__<) et ça m'a fait fait sourire.

En tout cas bonne continuation pour le reste, et tu peux être sur que je viendrais prendre connaissance de l'histoire de ce jeune homme au regard froid mais très intriguant ;D

Sujet: Re: « hopes dies last » Matthew Sam 12 Mai - 16:50

Merci bien !
En effet, j'ai penser à notre discutions en écrivant mon texte Heureuse que de t'avoir fait sourire alors !

Tu peux en être sur que, quand j'aurais terminer son histoire, tu seras la première au courant ;D <3

Sujet: Re: « hopes dies last » Matthew Ven 10 Aoû - 7:29

Je vous annonce officiellement, après un retard beaucoup trop grand, que ma fiche est TERMINÉ !
YEAAAAAAAAAAAAAH
J'ai bâclé la fin de mon histoire, pardon ;w;

félicitations ! Je suis ravie que tu es terminé
Par contre je t'annonce officielement que je suis grave dégoûté car avec mon portable je me peux pas lire au delà du chapitre 1 :-(
Mais je lirais ca des mon retour de vances !

Un baiser de bretagne <3

YOUPI ! On va pouvoir RP ensemble ! ^^ J'ai hate de voir ton style d'écriture (bon même si je le connait déjà XD) et et tes RP >.< !

Sujet: Re: « hopes dies last » Matthew Mer 15 Aoû - 5:44

LAAAATE éwè
Sankyou my dear <3

Sujet: Re: « hopes dies last » Matthew

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« hopes dies last » Matthew

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