Alyce L. Williams [End]

Sujet: Alyce L. Williams [End] Lun 31 Déc - 14:25

je me présente

Nom & Prénom: Alyce Luna Williams

DATE DE NAISSANCE & AGE : 18 décembre, 18 ans

NATIONALITÉ : Anglaise

ORIENTATION : Hétérosexuelle

GROUPE : Cheer'

quelques questions

POURQUOI CHOISIR CE GROUPE ? Pour devenir plus populaire.

COMMENT AVEZ-VOUS CONNU SWEET AMORIS ? Ses parents ont été là-bas dans leur année de Lycée, ainsi donc son frère et elle ont été placé là à la demande des parents d'Alyce.

COMMENT AVEZ-VOUS APPRIS L'ANGLAIS ? //

"I'm a little butterfly..."

m e n t a l

Une fille, une cheerleadeuse? Ne dit pas que tu ne la connais pas, c'est faux. Tu sais, cette fille aux cheveux blancs que tout le monde désire mais qui ne désire personne. Cette fille que son frère surprotège. Alyce. Elle s'appelle comme ça. C'est vrai, tu ne la connais pas ? Alors lis les paragraphes suivants et entre dans le monde de Alyce L. Williams, la cheerleadeuse populaire...

Il est facile de se faire une idée de qui est cette jeune fille aux cheveux blancs rien qu'en la regardant. Mais les apparences ne révèlent pas tout. Alyce en apparence calme et souriante n'était pas du tout comme ça il y a quelques années de cela. Lorsqu'elle était encore en sur poids et qu'elle avait des problèmes de peau . A ce moment là, la jeune fille que tout le monde admire n'avait pas le coeur à rire. Les moqueries incessantes de ses camarades lui avaient faits perdre le sourire. Elle s'était renfermée sur elle-même. Quoiqu'il en soit, ce renfermement des années passées avait permis à Alyce de devenir la jeune fille populaire qu'elle est maintenant. La jeune fille était un peu comme une chenille. Un peu laide et triste transformée en un magnifique papillon qui étend ses ailes à l'infini..

Et la Alyce populaire comment est-elle ? Et bien, elle est très calme et très souriante. Et elle est aussi très maniaque de l'ordre et du rangement. Aussi intouchable que belle, la jeune Williams aime son statut de briseuse de coeur. Son intouchabilité est en partie du à Matthew. Son frère qui la protège énormément.

Parfois espiègle, la jumelle Williams est une manipulatrice confirmée. Il est difficile de refuser quelque chose à la cheerleadeuse au visage d'ange et surtout, elle fait tout pour obtenir ce qu'elle veut.

En matière de goût vestimentaire, Alyce comme la plus part des filles aime la mode et les beaux vêtements. Mais elle ne met jamais rien de serré car ce genre d'habits fait ressortir ses problèmes d'anorexie passés. Et en goût culinaire, la jeune Williams est plutôt difficile à satisfaire. A cause de ses problèmes de poids précédents, elle ne mange plus d'aliments sucrés.

Voilà comment est Alyce L. Williams. Un mini aperçu de son monde. Une image d'elle, un simple extrait. Mais vous vous en doutez, ce n'est que la partie émergée de l'iceberg et le meilleur reste à découvrir..

p h y s i c a l

PERSONNAGE DE L'AVATAR : Suzushina Yuriko - To Aru Majutsu no Index
COULEUR DES YEUX : Bruns passant facilement au rouges sous le soleil et certaines lumières
COULEUR DE CHEVEUX : Blonds presque blancs. Teinture blanche comme son frère
POIDS : Environ 45 kg.
CORPULENCE : Très mince. Anorexique.
TAILLE : 160 cm
TAILLE DE BONNETS { unique pour les filles } : Bonnet B
COULEUR DES SOUS-VÊTEMENTS : Blanc, gris
COMPLEXE(S) : Son poids à longtemps été un problème
Un truc en + : Elle est tatouée d'un papillon sur l'omoplate gauche avec écrit le nom de son frère en chinois dessous.

No body is perfect...

s t o r y

(Avis au lecteur, début d'histoire calqué sur celle de Matthew, puisque c'est pareil et la suite aussi, presque calquée.)

chapitre I :

« Laissez-moi ! Ne me touchez pas ! »

Son cri désespéré retentit en écho dans les petites ruelles, appelant de l’aide, à bout de souffle. Depuis toujours elle passe par ce petit trou paumé sans que rien ne lui soit jamais arriver, pourquoi aujourd’hui c’était différent ? Pourquoi, posté dans l’ombre d’un coin, ils l’ont prit, elle, pour cible ? Elle n’avait rien fait pour mériter un tel sort, pas maintenant. Pourquoi personne ne venait l’aider ? Était-ce si normal d’entendre des cris de femme en détresse dans ce petit coin de ville que personne ne faisait attention à elle qui pleurait à chaudes larmes ? Quelle société pourrie… Quel monde pourrie… Quel travail de merde, aussi. Sans ce travail, elle ne se retrouverait pas dans cette situation horrible, une arme sous la gorge près à trancher sa fine peau et faire tomber le rouge sur la neige blanche déjà souillé par la terre. Elle n’avait jamais eu de chance, depuis toute jeune. Elle tombait tous les jours, elle se blessait puis tout recommençait. Depuis aussi loin qu’elle se souvienne, elle a toujours été malchanceuse. La preuve, c’était maintenant. Elle était bien une des seules à se faire prendre dans les filets d’être aussi sadique. Elle donnerait tout, tout sans aucun doute, juste pour sortir de cet enfer.

Sentant la lame passé lentement, ne pénétrant pas sa chair, elle ferma les yeux, connaissant trop bien la suite de l’histoire. Elle avait sans doute trop regardé de films d’horreur quand elle était jeune, mais ils n’avaient pas tout faux. C’était toujours la blonde un peu stupide qui mourrait en premier… En serrant les dents, elle avala sa salive… Puis plus rien. Elle entendit une simple alarme de police et ce fût finit. Il n’en fallut pas beaucoup pour que ses assaillants s’enfuient à toutes jambes. Elle se laissa glisser le long d’un mur de brique, les larmes ruisselantes sur ses joues creusent. Peut-être que Dieu existait, finalement. Elle se recroquevilla sur elle-même, le visage collé aux genoux…

« Vous allez bien ? »

Une voix la sortit de sa torpeur. Depuis combien de temps était-elle là ? Qui sait. Quelques minutes, quelques heures… Elle n’avait pas compté, elle était resté assit là, les doigts gelés par le froid et la neige qui commençait à tombé dans ses courts cheveux platines. Levant lentement ses yeux verts en direction de son interlocuteur, elle y découvrit un jeune homme aux cheveux noirs comme l’ébène et les yeux brunâtres, tournant vers le rouge sous la lumière de la lune. Il ressemblait à un démon. Un démon, certes, mais un de ses démons pour lesquels on vendrait notre âme. Tentant vainement de répondre à la question qu’il venait de lui poser, la jeune femme n’arrivait plus à dire quoique ce soit. Les lèvres sèches et gelés, elle n’arrivait plus à prononcer ne serait-ce qu’un son. Remarquant sa détresse qui se voyait dans ses yeux, le démon lui tendit sa main. Elle hésita. Devait-elle vraiment faire confiance à cet inconnu ? Elle le fixa longuement et se laissa avoir par ses yeux sombres. Attrapant la main qu’il lui tendait, elle se releva péniblement. S’accrochant à son nouveau sauveur, elle marcha avec lui, ne sachant aucunement où elle allait. Elle savait, cependant, qu’elle le suivait, son démon aux yeux de feu. Elle ne comprit pas la suite de l’histoire, elle ne comprit pas ce qui se passait. Elle se souvient de voix, de petites voix, du bruit d’une porte qui s’ouvre sous une carte magnétique, comme dans un hôtel, ainsi que des caresses, douces puis agressive. Cette histoire est flou, étrange, comme si elle n’avait jamais existé. Cette soirée était inscrite plus profondément dans le livre de la vie qu’elle ne l’avait espérer.

Le lendemain matin, dès l’aube, elle se réveilla. Sa tête était près d’éclaté, elle avait mal, tellement mal. Elle se prit la tête entre les paumes, pestant contre le froid et sa stupidité. La chambre était vide, complètement vide. La seule âme qui vive, c’était elle. Son démon était partit, la laissant seule. Elle aurait pu rager, pester contre le monde entier, mais non. Elle ressentait encore ses doigts sur sa peau, son regard brûlant dans ses yeux… Secouant la tête, elle réprima quelques larmes avant de se nettoyer et de revêtir ses vêtements. Elle venait de faire une bêtise, elle le savait. Non seulement elle venait de tromper son amour avec un démon, mais elle avait fait une bêtise encore plus grave, sauf qu’elle ne le savait pas encore. Une erreur est si vite arrivée, à ce que l’on dit…

chapitre II

Enceinte. Voilà ce que le test disait. Elle en avait fait trois, de peur qu’il ne se soit trompé… mais non. C’était réel, c’était vrai. Jamais elle n’aurait pensé que ça la suivrait autant, les nausées, les maux de tête, tous ça à cause d’une erreur. Comment allait-elle l’annoncer ? Comment allait-elle avouer ? Est-ce qu’elle se retrouva seule une fois qu’il l’apprendra ? Allait-il la laisser tomber, comme une vieille chaussette qu’on oublie au fond du lave-linge ? Ne sachant pas trop quoi faire ou encore quoi dire, elle réfléchissait. Devrait-elle avorter, faire comme si de rien n’était ? Non, elle en serait incapable, complètement incapable de tuer un être vivant, aussi petit et informe soit-il. C’était tout simplement impossible d’envisager cette éventualité. Que devait-elle faire, alors ? Garder cette enfant créé par une union interdite ? Elle ne savait plus quoi faire. Elle réfléchit longtemps, très longtemps. Posant le pour et le contre de cet enfant qui se trouvait être un accident de parcours. Elle avait agis stupidement, elle le savait. Cependant, elle ne pouvait pas abandonner ce petit être. Devrait-elle le mettre en adoption ? Non, le temps qu’elle mette cet enfant au monde, son époux se rendra compte de tout, logiquement. Elle fit les cents pas durant plusieurs heures sans arrêt, attendant l’arriver de cet homme qu’elle aime malgré l’erreur qu’elle a commisse. C’est lorsqu’elle entendit le cliquetis de la porte d’entrer que son souffle se coupa. Elle respirait difficilement. Elle s’assit péniblement sur le petit divan rouge et inspirant profondément. Elle devait se jeter à l’eau, même au risque de se noyer parmi ses mensonges. Lorsqu’elle le vit dans les escaliers, lui qui lui souriait gentiment, amoureusement, elle se releva. Un nœud dans la gorge, elle avança d’un pas lent vers lui. Elle plongea ses yeux dans les siens, ses beaux yeux verts dont elle est tombée amoureuse… Il s’avança à sa rencontre, juste à temps pour qu’elle se laisse tomber dans ses bras. Cette réaction l’inquiéta, il ne comprenait plus rien de ce qui ce passait. C’est alors qu’il l’entendit dire ça…

« Je… Je suis enceinte… »

Contrairement à ce qu’elle aurait pu croire, il était heureux, euphorique. Il la serra dans ses bras en hurlant presque de joie. Il ne se doutait donc de rien ? De ce fait, elle fondit en larmes dans ses bras, dans les bras de cet homme dont elle est folle amoureuse malgré tout. Il passa une main dans ses cheveux platine puis lui leva le menton délicatement pour lui déposer un doux baiser sur les lèvres. Il passa une main sur le ventre de son épouse, un grand sourire aux lèvres. Elle le savait maintenant, il ne l’abandonnerait pas. Il restera avec elle, il sera toujours à ses côtés. À la vie, à la mort. Elle ne peut espérer mieux, seulement qu’il ne découvre jamais la vérité. Elle l’aime, elle ne veut jamais le perdre, pas au prix d’un pauvre idiot qui c’est servit de sa faiblesse. Non, jamais. Toujours dans ses bras, elle entendit les murmures de son homme. Ces petites paroles qui lui étaient destinés.

« Notre amour, à jamais à moi, à jamais à toi, à jamais à nous… Madame Faith Williams, je vous aime »

Elle ne pût s’empêcher de sourire, heureuse. Elle le colla encore plus à lui, accrochant ses mains à son costard noir.

« Je vous aime Monsieur Nicolas Williams… »

chapitre III

« Vous avez deux beaux enfants, une fille et un garçon madame Williams ! »

Les cris retentissants des deux bambins emmitouflés dans deux couvertures de laines firent sourire le couple Williams. Ils avaient pensés avoir une fille ou un garçon, pas les deux, mais c’était merveilleux. Ils n’allaient pas se plaindre, ils en étaient complètement heureux. La joie se lisait dans leurs visages, ils avaient enfin une famille, une vraie à eux. La mauvaise aventure que Faith avait vécu lui passait désormais dix pieds au dessus de la tête, elle était trop heureuse, trop… tout. Elle avait deux bébés en santé, hurlant à pleins poumons dans ses bras tremblant, un mari qu’elle aime et qu’il l’aime… Quoi demander de plus ? Rien, du moins dans la tête de Faith.

Quelques jours après la naissance des deux enfants Williams, je ne pourrais dire que la vie va mal. Aucunement, tout va pour le mieux, malgré le manque de sommeil naissant aux yeux de Faith et Nicolas. Ce-dernier, d’ailleurs, travaillait jusqu’à tard le soir dernièrement. Le coup de la vie pour élever deux enfants est cher, même si les Williams n’étaient pas pauvres. Mais, vous savez, tout dans la vie n’est pas parfait. Chaque minute nous test et nous met au défi. Survivre ou abandonner, en gros. Sauf qu’en ce moment, dans un bel après-midi de Décembre, une fatalité arriva aux yeux de Nicolas. Ses deux bambins avaient les cheveux de leur mère, sans aucun doute possible… Cependant, quelque chose clochait. Au-dessus de leurs sourires d’enfants innocents, quelque chose n’allait pas. Un détail faisait tache. Parmi le cadre parfait de la petite famille heureuse, les yeux de « ses » enfants n’étaient pas les siens, ni celle de sa femme. La couleur marron, même rouge sous la lumière, n’était pas la bonne. Aucun des deux adultes n’avait cette couleur. Les deux avaient les yeux pâles… Nicolas se posa, bien évidemment, des questions. Par chance, enfin ça dépends de la vision de certaines personnes, il n’en tient pas compte. Après tout, c’était connu que les enfants pourraient ne pas avoir les yeux de la couleur de leur parent. Il ne fallait donc pas trop en tenir compte et tirer des conclusions trop rapidement… Une chance pour Faith, non ?

Après cette brève période de questionnement dans la tête de Nicolas Williams, il n’eut plus aucun problème. On aurait pu croire qu’il allait découvrir le poteau rose, mais trop aveugler par l’amour et sa petite vie presque parfaite, il n’a jamais pensé à la vérité. D’un certain sens, c’est probablement mieux ainsi. C’est donc dans cette ambiance de famille parfaite et harmonieuse que les jumeaux ont grandit. Bien entendu, ils n’étaient pas à plaindre. Ils vivaient bien, mangeaient bien, avaient de tous pour bien vivre. Ils ont toujours eux une belle vie, c’est vrai. Ils étaient chanceux, ils n’avaient aucun problèmes… ou presque.

chapitre IV

Alyce n'avait pas envie d'aller au collège ce matin. Non, elle allait encore se faire insulter. Les gens n'étaient pas tendres avec elle. Il allait la traiter de grosse vache et lui dire qu'elle était moche. Même si Matthew était là pour elle, il n'allait pas là protéger toute sa vie. Donc bien à contre cœur, la jumelle Williams se rendit au lycée.

« Écartez-vous v'là la grosse !»

La jeune Williams savait qu'elle n'était pas la plus belle, qu'elle avait quelques problème de poids. Elle en était parfaitement consciente et cela la tiraillait à longueur de temps. Elle en avait marre. Marre de tous ces regards moqueurs, marre de tous ces chuchotements dans son dos, marre de tous cela. Alors Alyce dans ses moments les plus dépressif partait pleurer dans les toilettes des filles loin de la rumeur moqueuse des couloirs.

Plus que ses yeux, c'était le cœur de la jeune fille qui pleurait et qui s'émiettait petit à petit. Son seul réconfort : Matthew, son frère, son jumeau, sa moitié. Son tout. Elle l'aimait plus que tout, elle ne pourrait pas vivre sans lui. Il l'aidait dans ses moments les plus durs, la consolait de ses bras protecteurs et lui glissait toujours des mots gentils à l'oreille. Il lui disait que peu importait ce que les autres pensait, elle serait toujours la plus belle à ses yeux.

Mais la jumelle Williams se sentait si laide, si moche. Elle voulait changer et malgré les mise en gardes et les supplications de son frère, elle se lança dans toutes sortes de régimes pour perdre du poids. Elle essaya aussi toutes sortes de crème et lotion pour sa peau. Alyce était déterminée à devenir belle coûte que coûte. Elle ne mangeait plus rien et commençait à maigrir à vue d’œil. Anorexique. Ses problèmes l'avaient rendues anorexique. A cause de moqueries stupides, elle était devenue anorexique. Les moqueries de ces camarades prirent certes moins d’ampleur mais son pauvre cœur meurtris n'avait pas fini de saigner.

chapitre V

Alyce avait toujours son problème d'anorexie, elle ne voulait plus manger. Plus jamais elle ne voulait être comme avant, plus jamais. Ses boutons avaient disparus et son apparence faisait partie de ses préoccupations les plus importante. Mais malgré tout cela, elle n'oubliait pas son frère. Bien sûr que non. Comment un jour, la jumelle Williams aurait pu songer laisse son frère de côte. Il avait toujours été là pour elle et elle devait lui rendre la pareil. De plus Matthew traversait une perdu difficile. Son premier amour Lincey avait tragiquement perdu la vie dans un incendie et ce regrettable incident avait fait perdre la raison. Matthew avait finalement fini chez le psy et ce n'est seulement au bout d'une année, d'une longue année de souffrances que la jeune Williams se décida enfin à agir. Elle n'aurait pas su attendre si longtemps, c'est vrai mais son jumeau n'y mettait pas vraiment du sien en disant qu'il allait mieux. Elle ne accablait pas non, elle en était simplement incapable, mais seulement, elle aurait voulu le comprendre. Lui parler, le voir sourire de nouveau.. Cette situation était sans doute aussi insurmontable pour Matthew que pour Alyce elle-même mais ce n'était pas le moment de jouer les victimes, elle avait un frère à aider.

Cependant, jamais la jeune Williams aurait imaginé que son frère irait si loin, que ses actes dépasserait la raison. Vers début Juillet, alors qu'elle était sortit promener Crimson, le chien, Matthew faillit commettre l’irréparable, le pire. Il avait prit le rasoir posé devant lui dans la salle de bains comme s'il lui disait de le faire, comme s'il le tentait et s'était entailler les veines du poignet. Mette fins à ses douleurs, éliminer la souffrance, s'offrir à la mort. Il voulait mourir mais il ne réussit pas. Le jeune Williams fut rapidement conduit aux urgences.

Et là encore, Alyce n'arrivait pas à le comprendre, elle pleurait. Elle était triste. Pourquoi ? Pourquoi son frère jumeau voulait la laisser seul dans ce monde où tous était moche. Où tout semblait fait la grimace ? Pourquoi l'abandonner ? Tout de même fière d'avoir put sauver son frère, elle ne comprenait pas. Après les deux semaines qui furent nécessaires au rétablissement du garçon, elle lui posa la question et la réponse la surpris d'autant plus :

« Pardonne-moi… Je ne te laisserais plus seule, plus jamais… »

Ce soir là, Matthew se referma lui même. Même sa jumelle n'arrivait plus à quoi que ce soit avec lui. Et il lui manquait, cet ancien Matthew chieur certes, mais qui la rendait tellement heureuse.

chapitre VI

« NON ! Matthew ! Dis-moi que c’est faux ! C’est impossible, hein ?! »

Mais il ne l'écoutait pas. C'était comme si Alyce elle même ne s'entendait plus non plus. Sa voix n'était qu'un simple écho dans sa tête vide. Le choc de l'annonce semblait l'avoir paralysé. Vidée. Pourquoi le sort s'acharnait-il sur elle ? Sur eux ? Pourquoi ses parents ? Qu'avait t-elle donc fait pour mériter pareil traitement ? La jeune Williams secouait désespérée son frère, elle voulait qu'il la rassure, mais ils étaient tous les deux dans la même situation. Seuls au monde, livré à eux même comme deux petites choses inoffensives. Alors elle tomba au sol et pleura, elle ne pouvait faire que ça. Pleurer en luttant contre le peur et le chagrin qui rongeait son cœur. Elle regarda l’infirmière qui se tenait là devant eux. Cette dernière voyant le chagrin accablant les deux jumeaux, les aida à s’asseoir pensant qu'ils pleurant et hurlaient en silence. Qui aurait cru qu'à 17 ans...

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Le samedi de cette semaine-là, habillée d'une robe noire, une fleur blanche à la main, son frère habillé d’un costume noir avec, lui aussi, une fleur blanche en main, elle se tenait là, devant deux tombes en pierre grise. Chacun leurs tours, ils déposèrent leur fleur entre les deux tombes. Sur l’une des tombes, l’on pouvait lire « Faith Williams ; La plus merveilleuse mère sur terre » et sur l’autre « Nicolas Williams ; Partit trop tôt, un père dont l’absence pèse lourd ». Serrant la main de sa sœur, Matthew tentait de la réconforter. Elle qui pleurait en silence. Ma jumelle Williams n’aurait jamais crû que ses deux parents la quitterait ainsi… Voyons sa sœur en larme, Matthew la serra dans ses bras, versant quelques larmes à son tour. Avec cet incident, la jeune fille était devenue plus lucide. Malgré tout les problèmes du monde, elle devait continuer d’avancer et aider son frère à surmonter cette étape. Elle-même était blessée et effrayée, mais elle ne pouvait plus rien faire, rien d’autre à part avancer.

« Reste avec moi Matthew..»

C’est ainsi que les jumeaux Williams partirent de leur terre natal pour aller s’installer aux Etats-Unis. Ils partirent s’installer chez leur tante, espérant que tout irait pour le mieux maintenant. À peine furent-ils arrivés que, main dans la main, ils se rendirent au magasin de tatou. Ensemble, ils se firent tatouer. Chacun avait quelque chose de personnalisé. Cependant, une fois entré dans leur nouveau Lycée, ils se séparèrent. Contrairement à son frère, Alyce voulu devenir « populaire ». Ses crises d'anorexie diminuèrent mais pas suffisamment. Elle se fit accepté parmi les cheerleedeurs et devînt une fille très belle et désirable mais cependant intouchable. Car quand un mec approchait trop sa sœur, Matthew venait l'éloigner aussitôt. Étrangement, je jeune Williams aimait ça. Elle s’en servait à son avantage…

Un an. Voilà un an que se cirque dure et Alyce continue d’agir de la même façon. A se rendre aussi belle que possible, a essayer de stopper définitivement son anorexie. Et Matthew continuait de la protéger et de gratter sa guitare. Les jumeaux étaient comme ça et rien ne pourrait les changer car de toute façon, on ne change pas une équipe qui gagne.

My story is my life...

PRÉNOM : Amély

AGE : 12 ans

COMMENT T'ES ARRIVÉE ICI : Top-site

UN COMMENTAIRE ? UNE IDÉE ? : Utilisation du prédéfinis de Matthew G. Williams/

LE CODE DU RÈGLEMENT :Castiel est passé~

Sujet: Re: Alyce L. Williams [End] Mar 1 Jan - 13:13

Bienvenue à toi et bonne année !!

Une nouvelle cheer' ? C'est super ! Je crois que c'est le groupe qui contient le moins de membre >.<

Enfin voilà, un petit mot pour dire bienvenue chez les fous MOUAHAHA ! Hum... Je vais me faire taper par les admis si je continue, je vais faire fuir les nouveaux ^^"..... quoique.... être frappé par Matthy'... Grrr !

Bref ! J'espère que tu te plairas parmi nous et que tu resteras jusqu'à la fin du monde ^^ !

Sujet: Re: Alyce L. Williams [End] Mar 1 Jan - 18:06

Bienvenue !

Oh mais tu est toute mignonne ! T'es la soeur de Matti' hein ? Ça expliquerais pourquoi quand j'ai vu le vava j'ai tout de suite penser à Matti' x)
C'est un bon début de fiche, j'ai hâte de voirle mental terminer et l'histoire aussi, mais il y a un truc qui m'a tuer, la deuxième image... Une parodie de Mirai Nikki, l’horreur D: (Oui bon je suis surement le seul qui n'aime pas ces images. xD)

Ps: Comme tu est nouvelle, tu ne dois pas être au courant alors il faut bien que quelqu'un te le dise: Ne t'approche pas de Grell si tu tien à ta peau. Voilà, c'était ma BA de la journée. 8D

Sujet: Re: Alyce L. Williams [End] Mar 1 Jan - 21:34

Fiche finie.
Merci Grell et Noah.

P.S : Comme le personnage que j'ai choisi est la prédéfini de Matthew qui est sa jumelle, mon histoire est presque calquée sur la sienne.)

Re P.S : Je ferais attention à Grell.

Sujet: Re: Alyce L. Williams [End] Mar 1 Jan - 22:02

« Pourquoi avoir choisit ce groupe » Techniquement, c'est plus pour devenir populaire, connu, que de surmonter ses complexes ~

Sinon, bienvenu à toi, ô ma soeur adorée de mon coeur ~ Je surkiff ta manière d'écrire, franchement. T'as vraiment 12 ans ? Eh bah, respect hein ! T'es douée ! Je suis très très heureuse que ce soit une personne dans ton genre qui est prit ma Alyce, je suis sûr que tu la jouera merveilleusement bien !
Concernant la fiche, il y a, certes, quelques petites erreurs d’inattention, mais rien de trop grave { quoique par moment c'est frappant }. Malgré tout, je crois qu'une petite relecture rapide pourrait suffire <3 Aja aja fighting !
C'est tout ce que je vois, tout me va sinon. Donc, comme j'ai dis, une petite relecture et je pourrais te valider darling <3

Sujet: Re: Alyce L. Williams [End] Mar 1 Jan - 22:23

Merci ô mon frère adoré. x)

J'ai essayer d'arranger quelques fautes, mais j'ai vraiment lu en diagonale. Oui j'ai vraiment 12 ans. Personne ne me croit jamais ! x) J'aime aussi beaucoup ton style d'écriture.

Voilà, voilà !

Sujet: Re: Alyce L. Williams [End] Mar 1 Jan - 22:29

J'ai vraiment relu rapidement aussi, mais je crois que ça le fait <3
En effet, c'est dur de croire que tu as 12 ans ! Mais t'inquiète, je connais ça xD Personne ne me croyait non plus quand j'ai commencé à Rp à 10-11 ans
Bon, allez, je te valide et je te mets ta couleur ! Bienvenu à Sweet Amoris, little girl ~

Sujet: Re: Alyce L. Williams [End] Mar 1 Jan - 23:36

Bonsoir,

J'aime beaucoup ta fiche Je te souhaite la bienvenue. En espérant un jour rp avec toi.

Sujet: Re: Alyce L. Williams [End] Mer 2 Jan - 2:28

Bonjour petite nouvelle~

Petite soeur de matthi'.... Par conséquent t'es ma petite soeur aussi? /BAM/
Pardon... x) Faut pas toujours me prendre au sérieux. xD

Sinon, j'aurais bien commenter ta fiche avant, mais je voulais la lire en entier avant et te validé après et... j'ai été devancer par Matthi'... encore...

Tant pis! Tant que je te souhaite la bienvenue dans le fond! ^^ Bah, bienvenue quoi!
J'espère pouvoir te relire bientôt. (C'est que t'écris comme une bête ma chérie. Moi à douze ans, je coulais presque en français... xDD)

Alors, je t'aime beaucoup (ouais, déja) et bon jeu parmi nous. ^^

Sujet: Re: Alyce L. Williams [End] Mer 2 Jan - 16:53

Merci beaucoup à tous. En espérant Rp prochainement avec vous.

Au plaisir de vous relire...

Sujet: Re: Alyce L. Williams [End]

» Les liens de Alyce L. Williams
» Alyce L. Williams "Avoue que tu m'aimes.."
» Hope Williams { underco 20 % }
» Do you have a problem ? { PV Alyce }
» Deux populaire qui se rencontrent, ça donne quoi ? {Pv Alyce}

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