InvitéMes Informations i have lot of money | Sujet: La vie ne tient qu'a un fil... (PV Dylan) Sam 16 Mar - 3:48 | |
| Ma tête...J'ai si mal. Qu'est-ce qui c'est passé? Pourquoi je ne peux pas ouvrir les yeux? J'ai de la misère a respirer. Je vous en pris, quelqu'un répondez-moi.
Joanie fronce légèrement les sourcils, sortant de ce pseudo coma qui venait de la coudre au lit pendant quelques heures. Après un petit moment de la sorte, ses paupières tremblent a leurs tours puis il commence a s'ouvrir lentement, mais sûrement.
La lumière cruelle et sans pitié parviens au pupille de la fille qui se dilatent sur le coup. Elle pousse un grognement semi-inaudible et par automatisme, elle rapproche son bras de sa tête pour ce cacher de cette lueur démoniaque. Cependant, le mouvement provoque chez elle plusieurs douleur. Ses muscles se tendent, se crispe et sa mâchoire se serre comme si on venait de lui faire sentir une des pires souffrances de se monde.
Par la suite, son corps redevient mou se détendant. C'est a ce moment précis que la fille semble se rendre compte de la situation dans laquelle elle est. Pourquoi les murs sont d'un blanc immaculé? Son appartement n'a pas la moindre trace de blanc. Pourquoi cette lumière vive qui rappel celle des néons? Le lien est automatique.
- Qu'es que je fais ici!
Elle écarquille les yeux puis elle jete un regard a son corps. Plusieurs bandage la parcourt dont un bien présent a la tête. Elle pose ses mains sur les bandages en questions et masse un peu sa tête comme pour s'assurer que ce soit bel et bien son crâne. Ou peut-être es-ce pour se rendre compte de la situation.
- Qu'es qui c'est passé? J'ai la tête qui tourne, j'ai un mal atroce, bon sang... Quelqu'un, expliquez moi..
Elle tourne la tête un instant puis fini par apercevoir un garçon qu'elle ne connaît visiblement pas. Un très beau garçon, d'ailleurs. Alors qu'elle le parcourt de haut en bas, elle détaille chaque partie qu'elle peut de cet homme. De beaux cheveux noir qui lui rappel le néant ou le chaos avant la création de toutes chose. Des yeux bleus qui lui rappel la profondeur des eaux si mystérieuse. Pendant un instant, elle croit même oublier qu'elle est blessé, qu'elle a mal et qu'elle est dans un endroit qu'elle aurait préférée oublier. Elle passe une main prêt de ses cheveux pour replacer une de ses mèches longue et blanche. Celle-ci la gênant dans son observation intense.
Sur les bandages de Joanie, on peut voir du sang, comme quoi son réveil et la façon agitée dont elle a bouger on ré-ouvert quelque blessure. De plus, a la vue de la jeune fille, on peut voir qu'elle n'est pas complètement ajunt encore. Rien de dramatique, certes, mais assez pour dire qu'elle n'a toujours pas toute son esprit. A bout d'énergie, elle se couche calmement dans le lit puis d'une voix douce et faible, ajoute a ses autres phrases.
- Qui es-tu ..? Pourquoi es-ce que tu es dans ma salle? Comment es-ce que je suis arrivée ici..? Peux-tu me donner des réponses, s'il te plait...
Elle ferme les yeux, comme si ses paupières étaient encore trop lourde pour le moment. D'une respiration calme, sa poitrine se soulève et s'abaisse de façon régulière. Ses sourcils se froncent de nouveau alors qu'elle a une image mentale puissante.
Deux phares, rivés sur elle. Incapable de bouger, elle voit le tas de ferrailles rouler a une vitesse vertigineuse. Ses jambes sont crispés au point ou elle ne peut plus faire aucun mouvement, c'est comme si elles étaient prise dans le ciment. La tête de la fille tourne. Elle n'est pas toute la. Elle se sent sur un nuage. Drôle de sensation. Sa s'approche. L'impact est imminent. Elle a envie de rire. Ce n'est pas le moment de rire dans une situation pareil. Mais c'est ironique, elle agit comme une biche qui manque de se faire frapper la nuit, c'est drôle, non? Elle rit. Tout se passe au ralentit et elle ne réussit pas a l'éviter tout de même.
Fin du flashback. Joanie ouvre les yeux de nouveau, mais cette fois, elle est en sueur, comme si elle venait de vivre le traumatisme seulement maintenant. Une fois ajunt, c'est beaucoup plus intense. |
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