Un commissariat n’est jamais silencieux, Sebastian en eu la preuve rapidement, détaillant quelques peu les lieux par habitude, parce qu’il eu l’habitude de détailler avec les yeux pour reproduire sur papier. Mais là, impossible d’imaginer la scène sur papier, plusieurs raisons lui empêchait de rédiger mentalement, le bruit prenant la majeur partie de son crâne, lui donnant un affreux mal de crâne, il était derrière un bureau de policier, d’ailleurs celui qui les avait trainés là avait perdu patience, braillant à rompre les tympans de principaux concernés, parce qu’il n’était pas seul, un jeune homme, de son âge, Grell Sutcliff était à ses cotés, sa compagnie ne le gênait pas, ce qui le gênait de sourire et d’être charmant c’était le lieu, un commissariat, rien de tel pour foutre en l’air une bonne humeur… Il offrit un regard en coin à Grell, lui non plus n’était pas détendu, pas que passer le restant de ses jours derrière les barreaux l’enchantait guère, en si, il ne voudrait pas rester enfermé dans une cage, même avec comme compagnon de cellule un beau jeune homme comme Grell. Dans un soupire il regardait le policier hurlant qui voulait toute l’histoire depuis le début.

Dans un long râle il se leva de son lit, si confortable, pour gagnait d’un pas lent et très peu gracieux, dans le but de se nourrir, ne sachant pas l’heure qu’il se trouvait être, il opta pour une petite collation, un simple café accompagné de quelques gâteaux, il devait garder son rythme de vie si il ne voulait pas finir, dans une semaine, par se lever à seize heures et manger à heures irrégulières, Sebastian aimait la régularité, même s’il vivait seul. Quand il eut finit de manger, la douche fut son nouvel objectif, quand il fut arrivé dans celle-ci, Sebastian se logea sous l’eau brulante, soupirant de bien être. Il restait là, pendant une bonne demi-heure, à savourait l’eau qui masser son dos avec délice. Puis quand l’eau devenu plus froide, il se mit à frissonner donc, rapidement le brun sortit de la douche pour s’habiller de façon assez classe, il fallait avouer. Puis enfin il consultait l’heure, onze et demi, soupirant, il se hâta de reprendre l’écriture de son nouveau livre, mais par malheur pour lui l’inspiration ne venait pas, l’énigme qu’il avait placé dans le chapitre précédent ne l’aidait guère, il avait totalement oublié comment il allait la résoudre, le pauvre détective n’était pas sorti de son affaire !

Après s’être une nouvelle fois nourrit d’un véritable repas, Sebastian reprit le cours de son histoire, écrivant à vive allure, s’arrêtant parfois pour relire, puis soupirait et tout effacer non content de ses écrits. Cherchant l’inspiration, déchaussa ses lunettes qu’il gardait pendu à son cou, il prit son ordinateur portable, dans une mallette appropriée et sorti de son lieu d’habita. Il prit, comme à son habitude le chemin du parc, habitant non loin de là, l’écrivain s’installa sur un banc au calme et en retrait, dans le but de recommençait sa rédaction, il ferma les yeux, savourant le calme et le vent lui caressait le visage.

- Bon aller, un peu de nerf…

Dit-il pour s’encourager à écrire, bien qu’aucune phrases ne se formaient dans sa tête, soupirant il pensait : « Il faut croire que l’inspiration me fuit ces dernier jour… », En effet sa faisait plus de trois jours qu’il était bloqué au même niveau, à sa fuite de la solution à l’énigme n’arrangeait rien, pour dieu avait-il mit une énigme, bien sur, pour le suspense, comme il avait fait dans chacun de ses livres… Sebastian rouvrir ses yeux ambre pour tomber sur un bâtiment très pratique pour son problème d’inspiration : la bibliothèque.

- Dieu merci, on a inventé la bibliothèque !

Il ce leva rapidement un d’un pas décidé il pénétra dans celle-ci, étant que rarement venu en ces lieux il ce dirigea vers la bibliothécaire, le sourire aux lèvres. La femme le regarda curieusement, mais ne fit aucune réflexion, dieu merci.

- Bonjour pourrais-je savoir où je peux trouver des livres sur les énigmes ?

La femme lui détailla chaque allée, c’était pour passer du temps avec lui, enfin c’est ce que pensait Sebastian, puis elle fit par arrivé à l’allée qui l’intéressait, alors quand il eut enfin la réponse à sa question il ce dirigea vers celle-ci, dans cette allée il y avait un homme, aux cheveux rouge sang, et immensément long. Ne faisant pas attention, il chercha des livres, n’en trouvant guère, quand soudain il trouva son bonheur « L’art des énigmes », à la couverture en cuir rouge, où le titre était marquait en lettre d’or, il nota que la police avait été bien choisi. Il posa sa main dans une infirme douceur sur le livre, remarquant alors une seconde main.

- Oh vous le voulez aussi ?

C’est d’une voix suave et douce qu’il avait parlé, s’adressant à l’homme aux cheveux longs de la chaude couleur rouge, il afficha un sourire charmant et déclara :

- Je peux le partager si vous voulez, c’est toujours mieux des recherches en compagnie d’une personne, inconnue ou non.

Comme pour insister son invitation, il offrit sa main libre à l’inconnu, toujours un sourire charmant aux lèvres.

Sebastian regarde l’homme en face de lui, ne comprenait pas vraiment pourquoi il le fixait ainsi, et il ne chercher pas nous plus à comprendre, ne voulant pas mettre mal à l’aise l’homme en face de lui, il afficha tous de même un petit sourire, ne ce voulant pas charmeur. Puis il regarda lui aussi l’homme aux cheveux rouge et se mit à secouer la tête négativement.


- Non, je doute que vos recherches soit moins pressante que les miennes, pour ma part c’est juste un simple oublier de ma part. Vous semblez vraiment en avoir besoin.

L’homme semblait foudre a chaque paroles de Sebastian, l’écrivain l’invita à consulter ce livre ensemble, ce fut alors comme un déclic, l’inconnu en face de lui sembla changer d’attitude, il passa d’un homme discret voir même envouté à un homme sérieux, soucieux du sujet.


- Pas tellement, je ne suis pas très doué pour cela, mais avec l’aide d’un livre et de vous, nous devrions régler votre énigme. Très bien, je vous suis.

Et bien, pour le suivre, il le suivait ! Sebastian ce vit tirer légèrement par l’inconnu aux cheveux rouge, il le regardait, enfin plutôt, il fallait l’avouer, il le détailler, de haut en bas, de dos bien entendu, puisque le détailler de face ne serais pas vraiment discret. Ils ce posèrent à une table, le livre poser entre eux, face à face, Sebastian écoutait avec attention, voulant venir en aide à cet inconnu qui semblait avoir un sujet plus intéressant que son livre. Il hocha la tête, lui montrant son attention, le regardait expliquer sa situation, qui semblait vraiment délicate.


- Eh bien… Votre situation semble étrange, mais je vais vous aidez, cette fille semble vraiment quelqu’un d’important, et il ne faut jamais abandonner ses amis.  Il prit le bout de papier. Hum…  Et vous dite qu’elle vous à donner cette suite avec comme seule indication « l’Edelweiss », hum…


Tout en réfléchissant il prit le livre et le feuilleta d’un air distrait et cherchait une chose pouvant faire office de piste.


- Elle ne vous à donner aucune piste, rien sur lequel nous pouvons nous penchés ? Même une petite chose qui peut être insignifiant pourrait être utile…

En disant cela il fixa le regard de l’inconnu, et ce rappela subitement qu’il ne c’était pas présenter, il afficha un petit sourire chaleureux et déclara d’une voix douce.

- Ah, mon nom est Sebastian Michaelis, il faut tout de même que vous le sachiez en vue d’une aide pour votre amie San.

Il reposa son regarde sur le livre, cherchant une piste quelconque.